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Qu'il s'agisse de la n°17 de Kristensen-Lehto-Müller ou de
la n°15 conduite par Winkelhock-Martini-Dalmas, les BMW V12 LMR poursuivent
imperturbablement leur ronde aux avant-postes, soutenant un rythme élevé
qui pourrait bien, au drapeau à damiers, se traduire par un nouveau
record à la distance sur le circuit utilisé depuis 1997.
Pour l'anecdote, le onzième tracé sur lequel se disputent
les 24 Heures depuis la création de l'épreuve, en 1923.
A 9 heures, c'est le statu quo pour les BMW, situation qui n'aura pas
changé une heure plus tard, le problème étant alors
de savoir si la GT One n°3 peut venir troubler la parade des bolides
bavarois. Et, à six heures de l'arrivée, les trois autos
qui dominent les débats depuis le début de la nuit précèdent
l'Audi R8R n°8 (Pirro-Biela-Theys), sur laquelle on se prépare
à un changement de l'échappement. Viennent ensuite la BMW
V12 "privée" n°18 de Bscher-Auberlen-Soper, la Panoz n°12
conduite par Brabham-Bernard-Leitzinger, qui effectue un parcours régulier
et fiable sans être, pour autant, à l'abri d'un retour de
la Nissan rescapée, la C52 "Courage" n°21 de Cottaz-Goossens-Ekblom.
Les Viper comme à la parade
Dans la catégorie LM-GTS, les Chrysler Viper du Team ORECA évoluent
comme à la parade, et occupent, dans l'ordre des numéros,
les trois premières places : Beretta-Wendlinger-Dupuy (51) devant
Archer-BellDuez (52) et Belloc-Ayari-Donohue (53). La première
Porsche 993 GT2, la n°63 de Haupt-Robinson-Price, est à près
de 20 tours, ce qui fait dire à Pierre Dieudonné (porte-parole
de l'écurie franco-américaine) :
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